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Les coupables

Nous, les humains sommes très forts pour voir les torts de nos vis-à-vis et très habiles à ne pas voir ce que nous ne voulons pas voir ni entendre et surtout quand c'est négatif : comme la poutre dans notre oeil.

Voici donc quelques coupables que nous ne voulons pas accuser à tort et à raison.

• L'économie.
  
  Les systèmes économiques ont été inventés par les plus brillants de nos semblables. Ils permettent de partager plus équitablement les richesses, ce qui serait beaucoup plus difficile de faire sans leur apport.
  
  Cependant, l'usage qu'on fait de l'économie n'est pas toujours en accord avec le développement durable, le respect des espèces et des écosystèmes. On fait souvent usage de cette science uniquement pour générer des profits qui ne sont très souvent peu équitablement répartis, même avec ceux qui contribuent à créer les produits et la richesse par leur travail quotidien.
  
  
• L'industrie
  
  Trop souvent encore, on exploite les ressources naturelles à grand coup d'énergie non renouvelable et quand la ressource s'épuise, on s'en va polluer ailleurs à des endroits reculés de la planète où personne ne sera en mesure de juger la gravité des dommages.
  
  
• L'agriculture
  
  Le bétail produit du méthane en grande quantité.
  
  Les terres cultivables sont "épuisées" par une production industrialisée
  
  Un apport important d'engrais et pesticides qui sont des éléments toxiques injectés dans les écosystèmes, principalement dans l'atmosphère et dans l'eau et même l'eau potable des masses phréatiques par infiltration.
  
  
• Les carburants fossiles
  
  Un : le charbon
  Deux : le pétrole
  Trois : le méthane
  
  On doit se chauffer, s'éclairer, se déplacer, se rafraîchir. Tout cela se fait souvent au moyen d'une énergie renouvelable, "l'électricité". Malheureusement celle-ci est produite à partir des sources non renouvelables productrice de gaz à effet de serre.
  
  De plus, les spécialiste de conversion en énergie fossile soulignent qu'une efficacité des systèmes de consommation atteignent rarement le 50%.
  (Systèmes de chauffage, transports, centrales au charbon ou au mazout...)
  
  
• Désertification
  
  Les pays les plus économiquement faibles, en voie de développement, n'ont souvent pas d'autre moyens que de déboiser des terres en brûlant des forêts. Ils cultivent ensuite ces partie de terre ainsi rasées souvent de façon intensive, jusqu'à épuisement des sols. Puis, ils abandonnent ces régions qui deviennent des déserts. Ces sols ne seront jamais régénérés par la nature qui a tout donné.
  
  
• Matériaux de construction
  
  Le béton : certains de ses procédés de fabrication nécessitent l'usage trop courant de combustible fossile.
  
  L'acier : son processus de fabrication dégage beaucoup de gaz à effets de serre et utilise aussi beaucoup d'énergie fossile comme moyen de chauffage de la matière première.
  
  L'aluminium : produit un matériaux léger et très prisé pour réduire le poid des véhicules, ce qui permet des économies appréciables de carburant. Malheureusement, son processus de production requiert un grande quantité de chaleur produite en bonne partie par des sources fossiles.
  
  
• Production d'énergie
  
  On transforme tout en électricité ou en vapeur pour actionner des turbines qui produisent de l'électricité.
  
  Les combustibles fossiles sont encore les plus utilisés. Et comme nous l'avons vu, les mécanismes de combustion atteignent très rarement de 50% d'efficacité.
  
  Le nucléaire n'est bas si blanc ou écologique que l'on en pense. Les résidus et le contrôle de leur usage, de même que leur entreposage, font une tache sombre à son tableau.
  
  L'hydroélectricité est une énergie propre au possible et quasi renouvelable. Si le cycle de l'eau n'est pas trop perturbé par l'anthropie et que les barrages sont encore situés au bon endroit, c'est une des meilleures source sur le plan environnemental. Mais les scientifiques doivent trop souvent travailler très dûr pour protéger la nature. Ils ont a débattre énergiqeument des impacts sur les bassins versants des cours d'eaux, sur les populations humaines, animales et végétales, la détérioration des écosystèmes et la disparition de la biodiversité.
  
  
• Les résidus
  
  Nos fameux sacs verts perdus dans la nature
  
  Les incinérateurs, dépotoirs
  
  Rejets industriels, fumées, produits polluants, résidus non traités de ressources naturelles partiellement utilisés dans beaucoup de produits donnent à penser qu'il y a beaucoup à faire dans le domaine de "production durable".
  
  
• Et bien plus ...à venir

Bien sûr, s'il fallait considérer ces faits, on devrait changer beaucoup de nos façons de vivre et nous contenter des essentiels, naître vivre, boire, manger, être heureux de ce qu'on a et de ceux qui nous aiment, puis, retourner à l'écosystème ...